Paul Kruger [UC]

Présentation personnelle :

Nom
Cherche donc, regarde y a une porte la bas au fond a droite

Prénom
Gautier

Age
21ans, enfin 22 en Septembre

Activité
Assistant d’éducation dans une école primaire…Au moins jusque Septembre

Provenance
Somain, dans le Nord (59)

Présentation personnage :

NOM : KRUGER
Prénom : Paul
Date de naissance : Inconnu du commun des mortels, mais le dossier affiche 14 Septembre 1954
Lieu de naissance : Deling City
Groupe sanguin : O Positif
Arme : M16A2. Mais il est capable d’utiliser une multitude d’arme différente.


Comment le décririez-vous ?

Comment décrire une énigme ? Peut-être en la posant, ou alors en y maintenant le mystère qui plane autour d’elle. De toute manière, pourquoi lutter alors que chaque effort en vue d’éclaircir cette nébuleuse ne fait encore que l’accroitre ? Probablement parce que vous avez bien besoin de repère pour vous faire une idée bien particulière de cet homme sans visage, légende vivante mondialement connu, craint de ses ennemis et respecté par ses pairs, mais en même temps si secret que personne ne peut répondre a des questions aussi banale que la couleur de ses yeux ou les membres de sa famille. L’on ne lui connait plus d’ami proche depuis la disparition du général Caraway et il reste une véritable ombre parmi la lumière, toujours proche du président mais jamais a coté de lui, comme s’il refusait de voir son nom associer a celui-ci. Pourtant, sa loyauté envers sa patrie ne pourrait être remise en question, puisqu’il servit fidèlement Deling pendant plus de trente années, participant a la guerre contre Adel. Il y remporta ses lettres de noblesses, mais aussi ses secrets, masquant aux yeux du monde souffrance intérieures et secrets trop lourd à garder mais ne devant jamais être révélé…

Ainsi, il vous apparaitra toujours dans son uniforme de combat qu’il ne quitte pratiquement jamais, un casque métallique sur le visage venant masquer la partie supérieure de celui-ci. Les lèvres elles restent a l’air libre, mais qu’importe, elle ne permette guère de le reconnaitre et lui laisse donc la possibilité d’être une véritable ombre pour la populace. Sa chevelure n’est jamais apparut a quiconque, puisqu’elle est toujours masqué par la cagoule verte, mais si par hasard vous parviendrez à en capter quelques mèches, vous découvririez une coiffure au carré de couleur brune tout a fait classique chez les soldats. La couleur de son uniforme est tout a fait particulière : ce vert kaki était celui porté autrefois par l’unité d’élite des Dragoons, soldat Galbadien maitrisant parfaitement la magie temporelle que notre homme forma lorsqu’il sera officier-instructeur a la fac de Galbadia. Mais en perdant le commandement lors du passage d’Edéa a la tête de la nation, l’unité fut décimée pendant la bataille des facs et il en est aujourd’hui le seul survivant.

Le seul survivant…Voila quelque chose qui le marquât à vie. Ainsi, il ne recherche plus l’attachement depuis bien longtemps maintenant. Même s’il veille à la bonne forme de ses équipiers lorsqu’il participe aux missions en équipe, il ne va pas vers eux, ne veut pas les connaitre ou entendre parler de leur vie et des choses qui les motivent pour ne pas se faire mal quand il découvrira leur cadavre sur le champ de bataille. A quoi bon s’infliger cette souffrance alors que sa vie n’est pas prête de ce terminé ? Chaque personnes qui l’on approché de près ou de loin on fini par subir la malchance et être emporté par la mort, il ne veut pas voir ceci se reproduire. Ainsi, les personnes qui voudront apprendre à le connaitre aura intérêt à s’accrocher, car il sera intraitable lors du premier contact et fera tous pour les décourager. Si toutefois il n’y parvenait pas, alors il s’enfermerait dans le mutisme qui lui est propre et ainsi parviendrait à décourager celui qui aura essayé de faire un pas vers lui. Pourquoi cette attitude aussi froide ? Que cache t’il derrière le masque de l’indifférence, son fusil d’assaut et ses deux épées semblent parler pour lui-même, mais il ne peut être considéré comme une simple machine de guerre, tout grand héros qu’il est. Un jour, peut-être, quelqu’un parviendra enfin a percé sa carapace et découvrir ce que les prochaines lignes de cette fiche vont révéler…

Biographie :

Les héros ou souvent le même point commun : ils sont nées dans des familles modestes et strictement rien ne les prédestinés a devenir ce qu’ils sont aujourd’hui, permettant a la propagande de mettre en exergue les qualités de l’abnégation et de la vie en milieu modeste. Notre sujet n’échappe évidement guère a cette règle et c’est il y a maintenant cinquante quatre années que sa genèse démarre, naissant auprès d’une matrone aimante mais désargenté qui ne disposait que d’un vulgaire travail de serveuse au Galbadia Hôtel. Son paternel quand a lui était soldat et combattait dans le front rude du Salt Lake, l’un des seuls chemins praticable en vue d’un assaut chimérique sur Esthar. Jamais présent, il fit toutefois don de sa source de revenue à sa femme pour lui permettre de pouvoir élevé leur enfant de la meilleure manière possible. Ainsi se déroulèrent les quatre premières années de la vie de notre bambin qui ne manqua de rien sans pour autant vivre dans l’opulence, sa mère se sacrifiant beaucoup pour lui. Mais sa vie prit une tournure bien plus grave que prévue : en effet, son père trouva la mort au front, ce qui signifiait que la veuve ne disposait plus de son revenu. Et malgré les aides fournies aux veuves de guerre, elle ne put assurer l’avenir de son fils avec le simple travail qu’elle menait, d’autant plus que des serveuses de charmes avec des gosses, ce n’était franchement pas l’idéal…N’en pouvant plus, elle se résigna à l’abandonner aux services sociaux qui le placèrent alors dans la faculté de Galbadia deux ans après la mort de son mari, Paul n’avait alors que six ans.

Le voila engagé dans un cycle d’une dizaine d’année dont l’objectif était de faire de lui une personne apte a entrée dans l’armée. Effectuant le trajet jusqu'à la faculté dans une petite voiture noire sans aucune particularité hormis un chauffeur particulièrement sans cœur et dédaigneux pour les enfants qu’il conduisait la bas, il allait pourtant retrouver l’amour maternel que l’on venait de lui arracher dans les yeux bleu d’une personne qui serait son instructrice pendant dix ans. D’une voie douce, elle se présenta sous le nom d’Alicia. La jeune femme avait pourtant une dizaine d’années de plus que lui, mais elle serait au centre de sa vie pendant toute sa période a la faculté de Galbadia. Elle n’abandonna pas devant le caractère déjà fermé du jeune homme, elle essaya de le faire progresser, et malgré qu’il lui réponde souvent par des monosyllabes particulièrement frustrants, elle continua de s’occuper de lui sans relâche. En grandissant et atteignant l’adolescence, il commença à lui faire doucement confiance. A onze ans, il ne parlait qu’avec elle, l’accompagnant dans ses entrainements tel une ombre veillant a sa sécurité. Plus grand que la moyenne de ses camarades de classe, il resta enfermer toutefois dans un masque d’indifférence avec ses camarades, ne leur prêtant guère d’attention, la seule personne réellement digne de son intérêt étant selon lui son instructrice. Cette dernière, malgré les avertissements de sa hiérarchie qui lui fit part de rumeur circulant au sujet de sa relation avec celui que l’on pouvait nommé son élève fétiche, ne fit strictement rien pour les faire taire. A ce moment, l’ambigüité était t’elle déjà présente ? Le sentiment était-il déjà né dans le cerveau de la jeune instructrice. Jamais encore Alicia ne s’était posée la question, avançant encore dans son travail, l’aidant à lutter contre les racontars, perfectionnant son art du combat, elle ne parvint pas pourtant a lui faire dépasser une phobie : celle des armes blanches. Jamais a l’aise avec une épée en main, le jeune garçon ratait pratiquement tout ses exercices dans se domaine, et son instructrice fini par rechercher une autre solution pour son élève : elle lui expliqua alors qu’il fallait pouvoir devenir officier dès sa sortie de l’école pour ne pas rencontrer cette difficulté sur le front. Soit, il allait donc faire cet effort pour se surpasser et éviter les problèmes. Quelque chose que l’on ne peut affronter se doit d’être contourné non ? Alors que l’on aurait put croire que les deux personnes s’éloignerait l’une de l’autre au fur et a mesure, élève et instructrice se rapprochèrent encore. Elle savait que bientôt, il passerait ses examens et devrait quitter l’établissement, mais se refuser à accepter la fatalité de le voir partir pour d’autre cieux, loin d’elle-même. Oui, lors de la dernière année, elle réalisa qu’elle nourrissait des sentiments trop forts envers son élève, mais ne fut capable de les refreiné. Lui ne vit rien, et poursuivit son chemin comme si de rien n’était.

Vint alors le temps des examens. L’épreuve sur le terrain fut assez difficile pour notre élève qui malgré tout les conseils de son instructrice ne parvint à dépasser cette peur des épées et commit plusieurs erreur faucheuse pendant ce dernier. Mais lors du cours théorique, il savait qu’il se rattraperait et écraserait même la concurrence dans ce domaine. Néanmoins, il fit une rencontre intéressante dans la rangée ou il attendit l’entrée pour l’examen : un homme brun particulièrement stresser trainait la jambe, de peur de raté son examen. Echangeant quelques paroles pour le rassurer quelque peu, il eu l’occasion de savoir qu’il s’agissait de Laguna Loire, mais lui ne put se présenté car son instructrice allait assurer la surveillance de l’épreuve et elle vint l’encourager une dernière fois avant le passage de cette dernière. L’épreuve se déroula sans aucun accroc et notre jeune homme parvint a les passé haut la main, néanmoins il n’obtint pas le rang maximal a cause de sa perte lors de l’épreuve pratique.

Ce fut cependant suffisant pour intégré l’armée et démarré une nouvelle vie, toutefois c’était ce qu’il pensait. Ses résultats tardèrent, son instructrice ne venait pas lui donner, alors, quelque peu en désespoir de cause, il alla la voir et la trouva en pleur sur son lit. Baissant la tête, il pensa avoir tout raté mais elle lui affirma le contraire et que c’était bien pour cette raison qu’elle était triste, qu’elle ne voulait pas le perdre. Il ne comprit la situation avant qu’elle n’accompagne le geste à la parole, venant déposer ses lèvres sur les siennes. Mais alors qu’il partait, il se refusait de se lancer dans une relation sans avenirs, aussi il repoussa les avances de son instructrice avant de quitter la fac, pensant ne jamais y revenir. Un acte qu’il aurait l’occasion de regretter plu tard. Sans le vouloir, il venait de signer l’arrêt de mort de la seule personne qui avait compté pour lui pendant dix ans. En effet, l’on retrouva son corps allongé dans sa chambre, l’air inconsolable avec une lettre d’adieu entre les doigts. Il fut ordonné une autopsie de l’instructrice mais jamais les causes de sa mort furent élucidé et l’on conclut a une mort accidentelle. C’est le manque d’amour qui mit fin aux jours de cette jeune femme pourtant promis à un bel avenir. Il n’apprit que bien plu tard la disparition d’Alicia. Enterré a Winhill, sa ville de naissance ou elle retrouva les siens, la jeune femme ne fut pourtant pas oubliée de son élève, puisque chaque années, il part fleurir sa tombe d’une rose rouge, pour essayer d’expié ca faute. Elle n’avait vécu que pour lui, et il la fit souffrir en refusant de lui accorder un peu d’amour avant de quitter sa vie. Ainsi, il la tua en quelque sorte, et bien qu’aucun tribunal n’aurait le courage de lui faire payer se crime qu’il n’avait commit de la main mais du cœur, il estima que s’infliger cette souffrance n’était que justice par rapport a ce que elle avait connu. Il venait de connaitre sa première déception amoureuse…Une autre plus terrible encore suivrait, celle qui ferait de lui un homme exceptionnel, mais condamné à ne jamais connaitre le bonheur…

Toutefois, la suite de cette histoire ne prendra place que quatre ans après ses évènements. Vivant encore dans l’ignorance de son destin, le jeune soldat suivit un nouvel entrainement afin de pouvoir assurer le rôle de sous officier dans l’armée. Il fut doté des uniformes rouges avec les armes à feux devant sa phobie maladive des lames et autres objet tranchant. Mais ce ne fut pas tout. En effet, l’on lui apprit les bases du commandement et d’autre chose qui lui serait utile en combat. Finalement, il était à cette époque partie sur les traces de son paternel mais ne pouvait deviner qu’ils ne les suivraient pas vraiment devant ce qui l’attendait. Car un évènement marquera a jamais son existence d’homme, y mettra probablement même fin. Car après quatre ans de formation, on l’envoya, histoire de le tester un peu, régler une enquête a Deling City qui faisait état d’une présence magique dans la ville rapportant des ragots sur les nécromanciennes et la première guerre qui les avaient opposées a la civilisation de Centra. La situation politique de l’époque amené Deling City à mettre sa propagande sur cette guerre, arguant que Galbadia était le défenseur de la liberté contre les opprimés Esthariens qui obéissait aux ordres d’une nécromancienne, Adel. Mais en réalité, le perfide président a vie ne pensait qu’a agrandir son pouvoir, ses territoires et ses conquêtes et dissimulé derrière cet objectif noble ses mauvaises intentions. La politique na jamais intéresser Paul et lorsqu’il se rendit dans la ville pour enquête, les témoins ayant aperçu cette femme lui indiquèrent la tombe du roi inconnu. Soit, il y mènerait son équipe pour en finir. Techniquement, il devait soit mettre fin a ses agissements, soit faire appel a des renforts une fois la cible localisé. Cette sépulture sinistre avait de quoi inquiéter et ils avancèrent en silence pour ne pas se faire repéré. Paul pouvait sentir, entendre, cette présence qui semblait l’attiré, lui parler, et avancer au feeling, alors que ses équipiers le suivait sans réellement comprendre ce qui pouvait le motivé. Mais lorsque la cible fit enfin son apparition, il comprit alors ce qui l’avait tant attiré ici. D’une rare beauté, cette fée semblant sortir des temps anciens affichait toutefois une mine fatiguée, mais le qualifia d’amour. Si le coup de foudre existait, il venait de le connaitre à l’ instant. Mais voila l’instant décisif ou un homme doit faire son choix entre sa patrie et ses sentiments, choses qui hante les états d’âme de chaque soldat. Mais finalement, le devoir prit le dessus et il se battit de toutes ses forces contre une cible qui ne semblait pas vouloir se défendre. Quand il estima en avoir assez fait, il s’empara de l’épée de l’un de ses collègues qui avait été mis hors de combat sans être tué au début du combat. Il fallait l’achevé, mais il ne put jamais terminer son geste.

Un quart de seconde, sa phobie des lames reprit le dessus, et il suspendit son geste, elle en profita pour s’agripper a lui, laissant la lame pénétré ses chairs pures et si belle. Taché de rouge, c’est une douce énergie qui vint l’entouré a sa place. Cette femme, dont l’existence millénaire allait enfin prendre fin, lui expliqua qu’elle lui confier la tache de veillez sur le monde a sa place, l’un des huit avatars de la compassion du dieu Hyne venait de disparaitre. Mais il allait devoir prendre sa place, ce qui signifiait normalement se retiré du monde pour vivre en Hermite, et cela, il n’était pas près de le faire. A vrai dire, jamais il ne le saura probablement, mais il n’imaginer pas ce que se don allait lui offrir et la manière dont il allait devoir le dissimulé au quotidien ! Restant immobile pendant quelques secondes devant la disparition de se corps de sacre, ses deux équipiers se relevèrent et, pensant qu’il ne s’agissait que de la réaction normale d’un homme après son premier meurtre, l’encouragèrent à rentrer a Deling et partir boire un verre avec eux. Pour la première fois de sa vie, il retourner a l’endroit où sa pauvre mère avait travaillé, mais ne la vit pas. Elle était devenu le cadet de ses soucis, et il l’avait comme oublié de son esprit, après tout cette femme l’avait abandonné et Alicia avait en quelque sorte prit sa place, même si elle se voyait comme une épouse et non une mère…Qu’importe, seul la vue de cette envoyée de dieu, Greta de son prénom, avait envahi l’esprit de notre soldat. Il fit juré a ses deux compères de ne jamais en parler et rédigea un rapport ou son élimination fut rapide et sans accroc, ne mentionna guère le don de pouvoir qui allait lui donner l’opportunité de ne plus vieillir. Ce qui aurait du faire de lui un être exceptionnel, et le fera d’une certaine façon, il le perçut dès le départ comme une malédiction. Bien qu’il ne le maitriser pas a ce moment, il pouvait sentir se pouvoir circuler en lui, il était maintenant différent, et ce serait ce qui expliquerait sa brusque montée en flèche dans les armées Galbadiennes, car il ferait une rencontre qui allait changer le cours de sa vie. Mais avant cela il allait suivre les traces de son père et allait dans le seul endroit ou il pourrait connaitre l’enfer qui eu raison de sa vie : le front de Salt Lake…

Cette région très inhospitalière est le seul passage pour Esthar et son contrôle est stratégique. Au bout de la voix ferrée désaffecté d’Horyson, les troupes Galbadiennes doivent les traversé a pieds, exposé au tir de l’artillerie, aviation et marine ennemi et également en proie aux divers maux des marcheurs forcé. Comme si cela ne suffisait pas, les monstres se mêlé de la partie une fois arrivé. Dans cet environnement ressemblant a un mélange entre les pôles et les carrières, des fossiles datant de plusieurs millénaires reprenait vie et les compagnies qui parvenaient à leur but étaient toute exposées aux attaques continues de ses monstres particulièrement désagréables. Enfin, comme si cela ne suffisait pas, il fallait compter avec ses foutues Borg…Toujours plus nombreux et organisé, ils étaient fabriqué en masse tandis qu’il était de plus difficile en face de combler les pertes. Bien souvent, le front de Salt Lake se retrouver sans combattant et une période de flottement stratégique s’en suivait qui n’était heureusement jamais exploité par les Esthariens qui employait une doctrine défensive a cet époque. Alors que Paul se trouvait dans cette région depuis maintenant plusieurs mois, il fit une rencontre qui allait changer sa vie. Pour essayer de débloquer cette situation, l’on envoya un officier qui sortait de l’école militaire d’une formation poussé afin de rendre courage aux troupes. Cet homme s’appelait Caraway et prit le commandement de la compagnie de notre héros d’une manière plus que délicate. Juste avant une offensive des Borg ! Organisant les hommes du mieux possible par rapport aux conditions déplorable, Caraway fit quelque chose qui forçat le respect. Prenant lui-même place dans la tranchée, M16 en main, il attendit l’assaut de ses ennemis bravement a coté de ses hommes. L’enfer qui se déchaina sur eux fut alors digne des plus grandes batailles de l’histoire, la plupart était cependant des vétérans chevronnée et avait apprit a ne plus prêté attention a l’artillerie. Tant que l’on entendait les obus, ce n’était pas pour nous… Puis l’assaut massif des Borg, la défense tout azimut, la compagnie meurt mais ne se rend pas…Après plusieurs heures de carnage, il ne reste plus que deux hommes debout. Kruger et Caraway.

Le premier en vint à faire une proposition étonnante au second. S’emparant d’une épée lâché par un compatriote mort au combat, il demanda à l’officier de lui fournir son arme pour pouvoir les tiré de la. Mais comment un homme seul pourrait y parvenir ? Avant d’y aller, Paul fit promettre à celui qui deviendrait son meilleur ami de taire le spectacle qui allait se dérouler devant ses yeux et celui-ci fit un signe affirmatif de la tête, ne voulant surement pas être fait prisonnier. Lui tendant l’arme qui deviendrait ensuite son fétiche, il resta, hébété, dans la tranchée, contemplant un véritable massacre. La première pensée qui lui vint a l’esprit était que cet homme n’était pas humain, tant la vitesse d’exécution de ses coups étaient trop rapide pour l’être. Mais que pouvait-il être alors ? Il attendit la fin du massacre et quand l’homme revint, ne semblant même pas fatigué par cet effort, le regarda stupéfait ! Comment faire un rapport objectif sur cette situation sans partir en éloge et dévoiler son secret ? Il trouverait bien quelque chose mais demanda d’abord des explications. Alors Kruger se fit bavard et pour la première fois parla de sa mission a quelqu’un qu’il jugeât de confiance. Il n’eu pas à le regretter car Caraway allait lui apporter un avenir brillant et la célébrité tout en garantissant ses secrets ! Il lui signala que la vie de trouffion était fini pour lui, l’école d’officier et les forces spéciale l’attendait. En effet, Caraway avait un projet de forces spéciales d’élite à développer et savait que Kruger serait sa publicité parfaite pour ca. En échange du soutien de l’homme, il lui garantissait une discrétion absolue sur la véritable nature de ses pouvoirs et capacité spéciale. Le marché entre les deux hommes étaient donc scellé et débuté une amitié qui serait véritable, Caraway serait le meilleur soutient de Kruger et probablement l’un de ses seul ami. Lorsque la relève arriva, ils se firent passé pour des survivants d’un massacre causé par les monstres et purent être ainsi transféré à Deling City sans aucune difficulté ! La fin d’une époque, le début d’une nouvelle ère pour Kruger, celle du commandement, mais avant, un lourd secret qu’il n’avait jamais su allait être dévoilé lors de son retour a Deling City, quelque chose auquel il n’avait put se préparer et qu’il allait devoir porté sur la conscience toute sa vie : la mort de son instructrice, celle qui considéré comme sa mère, Alicia.
En effet, une fois retourné à la capitale, le futur général lui expliquât qu’il allait devoir retourner à la fac de Galbadia pour perfectionner son entrainement et enfin devenir un véritable officier, ensuite il pourrait effectuer les missions que lui assignerait Caraway dans le but de promouvoir les forces spéciales. En échange, l’officier, qui avait le bras long, allait faire modifier son dossier en conséquence pour y faire effacer beaucoup de chose…Un retour dans l’établissement qui l’avait vu grandir ne le dérangeait pas plus que cela, mais il savait qu’il risquait fort d’y revoir celle qui s’était occuper de lui pendant dix ans fidèlement et qu’il avait repoussé en pensant qu’il ne la reverrait pas ! Comment aurait-il put savoir que son avenir tournerait de cette façon ? Quoi qu’il en soit, il demanda à Caraway de prendre des renseignements sur elle, ce que l’homme fit sans plus tarder en contactant la fac de Galbadia a ce sujet. Pendant ce temps, il servit du champagne à son hôte qui avait déjà gouté à ce liquide des années plutôt, alors que sa mère volait parfois des bouteilles à l’hôtel ou elle travailler. Lorsque l’établissement scolaire rappela Caraway, celui-ci afficha une moue soucieuse avant d’affirmer qu’il comprenait et de raccrocher. Ce tournant vers Kruger, il ne put se taire plus longtemps et lui avoua la vérité. Elle était morte, par amour pour lui, puisqu’on avait retrouvé dans l’autopsie aucune trace de poison ni d’agression. Pas de doute, sans lui, sa raison de vivre était perdue et elle s’était laissé mourir. Il appela cela son drame de l’amour, les deux femmes qui lui avait porté des sentiments étaient morte par sa faute, l’une parce qu’il avait refusé de s’occuper d’elle, et l’autre parce qu’elle avait voulu le protégé…Mais quel idiot il faisait ! Un héros que lui disait son ami…N’importe quoi ! Il apprit qu’elle était enterrée au cimetière de Winhill et décida qu’à chaque anniversaire de sa mort, il irait déposer une rose, pour essayer d’expier une faute qu’il ne pourrait jamais réparer. Mais cette fois, il n’aurait le temps d’y aller, la formation d’officier primant sur tout.

De retour a la fac, il ne commit donc pas la même erreur que la dernière fois et s’isola totalement, ne s’attachant à personne dans l’objectif de ne laisser aucune marque. Le jeune homme parvint facilement à s’imposer dans cet univers grâce a ses pouvoirs qui avaient renforcé également ses capacités intellectuel. Mais il ne pouvait les utilisé a plein régime pour ne pas se faire repéré, mais aussi parce qu’il ne les maitriser pas encore totalement. Néanmoins, celui-ci était assez grand pour faire de lui un super soldat héros de guerre. Ce qu’il allait très bientôt devenir maintenant, tout en découvrant sa propre destiné, mais aussi en subissant la première grande défaite de sa carrière. Il le savait, il disposait d’ennemi plus puissant qu’Esthar, mais ne pouvait encore clairement les identifiés, car comme beaucoup de monde de cet époque, considéré les nécromanciennes comme des avatars perdu du passé. Il ne pouvait savoir a quel point malgré les pouvoirs qui coulaient dans ses veines il était dans l’erreur !

La sortie de l’école d’officier lui accorda le grade de Major, qui n’était pas le plus élevé mais lui convenait parfaitement a lui et Caraway pour l’établissement de leur plan. Nous voilà maintenant dix huit ans avant les évènements qui conduiraient la prêtresse Edéa à prendre le pouvoir à Galbadia. Kruger devenait plus ou moins célèbre dans le commandement pour être le réalisateur de quelque gros coup de main, ce qui permettait à Caraway de faire progresser l’idée de création de force spéciale. Deling, pour renforcer la domination de Galbadia sur le continent et contrôler l’accès a la mer totalement, décida d’attaquer la petite principauté de Timber, un état indépendant mais sans grande force militaire capable de s’opposé a l’armée mécanisé Galbadienne. Kruger le savait bien, la modeste armée de Timber ne serait surement pas un obstacle pour Galbadia, mais en même temps, Caraway lui trouverait bien deux ou trois places fortes a dynamité et des actions d’harcèlements des lignes de ravitaillement et communication qui faciliterait largement les mouvements de leur propre armée…Bref, de quoi encore assuré la publicité de ses forces spéciales en mission et enfin arrivé a débloqué les crédits. Jamais il n’aurait imaginé être forcé a mêlé vie privé de son ami avec ses actions guerrière, surtout pour écarter une vieille connaissance a cause d’une femme…Mais peut-être que brisé les couples étaient son lot habituel après tout…

C'est ma faute : la dernière version de FFVIII auquelle j'ai joué était celle en anglais et dans celle ci, Dragoon = Paraborg. Je pense que la c'est clair.

Le point un concerne le passage du massacre des borgs, Phae m'avait dit que ca faisait trop GB mais en fait je n'ai pas été assez explicite, il sort pas une division entière, simplement les restes après la bataille, ce qui fait beaucoup moins en réalité.

Le BG n'est pas fini et notre homme va essuyer quelques défaite histoire de montrer qu'il n'est pas un dieu...Et la dernière phrase est un délire entre moi et Phae